Des sculptures en bois de cette facture et de cette période sont extrêmement rares. Les exemplaires conservés proviennent probablement tous de tombes. C'est sans doute en signe de piété que le défunt est agenouillé. Il est moins aisé d'expliquer la position des bras étroitement enveloppés dans un vêtement, quoiqu'une image similaire, appelée tekenou, faisait partie du cortège funéraire des élites.